PARTIE 11 : Israël - Église - Messie
- jeanbernardritt
- 18 déc. 2024
- 12 min de lecture
PARTIE 11 : Israël - Église - Messie
B) La Femme et l'Enfant
Église intérieure (E.I.)
Partie 1: L’Église intérieure et l’Église extérieure. Mais une seule Église .
(La dimension infinie , éternelle et universelle de l’Église, notamment selon le chapitre 21 de l’Évangile de Saint Jean et l’Église de Pierre, qui regarde dans le rétroviseur).
Après vingt siècles d'existence, l’Église de Pierre semble arriver à son terme et elle est à bout de souffle.
Voici l'expérience personnelle que j'ai de cette Église là, à la paroisse de la cathédrale de Metz, en France. Pendant longtemps, la France a été considérée comme la fille aînée de cette Église là. Voici quelques clichés:
Dans la cathédrale de Metz, il y a actuellement, pour une période de plusieurs mois, deux expositions.
L'une des expositions, sur le côté gauche, en entrant dans la cathédrale, concerne quelques panneaux sur la vie et l’œuvre de Robert Schuman (1886-1963), homme politique français, proposé à la béatification en 1990, et reconnu comme vénérable. Les démarches ont été entreprises, devant les instances compétentes. Il ne semble pas qu'à ce jour, un ou plusieurs miracles aient été réalisés par Robert Schuman.
Sans aucun doute, c'est un homme politique d'importance, ayant participé à la création, après la seconde guerre mondiale, de l'union européenne, en instaurant la Communauté Européenne du Charbon et de l'Acier (CECA). Jusqu'à preuve du contraire, il a été un homme politique intègre et exemplaire.
Robert Schuman est une personnalité publique parfaitement marquée, qui ne représente sûrement pas les couches populaires de l'époque , de la III° république, à la V° république. C'est également sans aucun doute un excellent chrétien. Néanmoins, c'est aussi un grand bourgeois (voir sa biographie: très bonne éducation, toujours habillé d'un costume trois pièces, sans épouse et sans enfant, vivant avec une gouvernante, dont le hobby le plus connu est la bibliophilie, la collection de livres de luxe. Ce qui est vrai, c'est qu'il présente l'image d'un "curé laïc", vivant avec une sorte de "bonne du curé", et en disant cela, il n'y a ni malveillance, ni volonté de dénigrer, mais simplement de marquer une réalité: Robert Schuman fait plutôt partie de la classe bourgeoise supérieure.
A l'époque, il est d’ailleurs engagé politiquement dans la mouvance de la bonne vieille droite bourgeoise classique, ayant voté les pleins pouvoirs au maréchal Pétain en 1940, anti laïque, proche du capitalisme et de l'impérialisme américain, et donc plutôt hostile aux représentants politiques des classes laborieuses et populaires, dont bien évidemment la Parti Communiste Français. C'est donc une personnalité qui ne représenta pas du tout , ni les masses populaires de son époque, ni les masses populaires d' aujourd’hui, les "pauvres " et les "opprimés". Bien au contraire.
Si une certaine catégorie de catholiques, plutôt traditionalistes, aspire à en faire un modèle de chrétien , et plus précisément d'homme politique catholique exemplaire, il aurait été judicieux de présenter , en même temps, en face de cette exposition, sur le côté droit de la cathédrale de Metz, une exposition sur une personnalité du peuple messin, d'hier ou d'aujourd'hui, une personnalité qui représente réellement , non pas le passé , mais l'avenir de l’Église catholique de Pierre, une personnalité laïque ou un prêtre, mais un ouvrier ou une ouvrière, par exemple, du gabarie de Bernadette Soubirous, issue d'un milieu "pauvre" ou, à la rigueur , un modèle comme la petite Thérèse de Lisieux .
La seconde exposition , dans le déambulatoire de la cathédrale de Metz, présente l'historique d'une spécificité des départements de la Moselle et d'Alsace, à savoir le "droit local". C'est là aussi, une exposition à contre-courant des courants de la société moderne et contemporaine actuelle. Cette exposition aurait mérité au moins quelques explications concernant le fait que ledit "droit local" n'enfreint pas la règle de la laïcité contenue dans la constitution française de 1958. Mais plus grave, le maintien du droit local, en l’état, en particulier depuis la fin de la première guerre mondiale, en 1918, est une revendication corporatiste, qui consiste à rémunérer le clergé catholique, mais aussi les pasteurs protestants et les rabbins juifs , des trois départements de Moselle et d'Alsace, aux frais de l’État, et donc par des impôts . Le droit local est un droit profondément injuste dans la mesure où, non seulement il conduit à faire rémunérer par l’État (sur des deniers publics) les clergés juifs, protestants et catholiques, mais de plus, ,il exclut tous les représentants des autres religions, présents sur ces territoires, comme les bouddhistes, et aussi les imams musulmans.Il fait donc, d'une certaine manière, dépendre les pasteurs , notamment de l’Église catholique, de la puissance publique. Cela signifie donc que le maintien de ce droit local , revendication corporatiste, est la défense d'un droit acquis, qui repose sur de vieilles coutumes et habitudes, qui n'ont plus lieu d'exister de nos jours . C'est une erreur de s’arque-bouter sur une telle revendication , purement matérielle, loin de toute spiritualité, qui ne rapproche pas les représentants de l’Église du peuple des "pauvres", et qui est loin des enseignements de saint Paul relatifs au fait de ne dépendre , matériellement , de personne , et surtout pas de la puissance publique de ce monde-ci . Saint Paul écrit: "Car vous savez bien comment il faut nous imiter. Nous n'avons pas eu une vie désordonnée parmi vous, nous ne nous sommes fait donner par personne le pain que nous mangions, mais de nuit comme de jour nous étions au travail, dans le labeur et la fatigue, pour n'être à la charge d'aucun de vous: non pas que nous n'en ayons le pouvoir, mais nous n'entendions vous proposer en nous un modèle à imiter. Et puis , quand nous étions près de vous, nous vous donnions cette règle : si quelqu'un ne veut pas travailler, qu'il ne mange pas non plus." Cette règle, qui ne vise que le refus de travailler, provient peut-être d'une parole de Jésus ou simplement d'une maxime populaire. C'est "la règle d'or du travail chrétien."
Voilà donc deux expositions bien éloignées des préoccupations d'aujourd'hui, et qui manifestent bien que l’Église catholique avance dans le monde moderne en regardant dans le rétroviseur, vers un passé qui s'éloigne de plus en plus, et qui, donc déphase l’Église par rapport à la réalité présente.
Encore deux remarques pour illustrer cela, sur l'état de l’Église aujourd'hui, à Metz plus précisément à la cathédrale de Metz , lieu prestigieux, chargé d'histoire.
La première remarque concerne le public présent aux divers offices religieux. Au sein du public, on peut signaler trois catégories de participants majoritaires.
D'abord, bien manifestes, fortement présentes, les "dames patronnesses". Sans doute, elles ont toute leur place en l’Église, mais ce qui surprend, c'est leur place plus que dominante. Sans doute, elles sont gentilles, et rappellent les dames qui, quand nous étions de petits enfants, il y a plus de soixante ans, préparaient les enfants , à leur domicile personnel, par le catéchisme, aux deux communions et à la "confession". On les rencontre aussi, et presque exclusivement, dans les diverses associations catholiques, rares lieux où l'on peut encore parler de Jésus-Christ et de son Message, lieux où elles se montrent toujours, à la fois, conformistes et rigoristes. Elles sont accompagnées parfois par leurs maris, aussi très âgés.
Ensuite, un peu en retrait plutôt de sexe féminin, des personnes de couleur, noires, africaines , silencieuses, mais ô combien pieuses ! Quelquefois elles peuvent pencher vers une forme extériorisée d'idolâtrie par leurs comportements...
Enfin, surtout lors des offices du dimanche, rarement en semaine, où les offices se déroulent dans les catacombes de la cathédrale, devant un public clairsemé, majoritairement féminin, très éparses, des familles nombreuses, avec papa et maman; ce sont des familles classiques, faisant partie sans aucun doute de la catégorie supérieure des classes aisées, les enfants étant propres et polis, endimanchées dans un habillement "vieux style", charmants, plutôt donc "familles vieilles France", sans porter aucun jugement défavorable , car eux aussi évidemment ont tout à fait le droit d'assister à la messe .
Mais le problème est plutôt celui-ci: pas de diversité , parmi l'auditoire, mais le constat d'un public monochrome. En, particulier , et c'est dramatique, l'absence des jeunes (rares!) et des classes laborieuses .
Une partie de ces jeunes et de ces classes laborieuses, faut-il les chercher dans d'autres lieux ? Les mosquées ? Ailleurs encore ? En tout cas cela pose problème sur l'existence de l’Église catholique à moyen terme ...
PARTIE 12 : Israël - Église - Messie
Partie 2: L’Église intérieure et l’Église extérieure. L’Église extérieure.
Tout cela réuni, on comprend mieux pourquoi le pape François, quand il vient à Marseille faisant une messe devant 60 000 fidèles, considère qu'il vient effectivement à Marseille, mais pas "en France". Et aussi pourquoi le pape François refuse obstinément de venir inaugurer , aux côté de notre président de la république monsieur Emmanuel Macron, ("Dieu avec nous !"), la nouvelle cathédrale Notre-Dame de Paris.
La seconde remarque concerne ceux qui officient lors des diverses cérémonies, dont les messes, et plus précisément les prêches effectués par les chanoines de la cathédrale de Metz , en particulier les homélies qui suivent la lecture des passages de la Bible.
Nous venons de sortir d'une période chargée au niveau de diverses échéances électorales (élections des députés européens, dissolution de l'assemblée nationale et élection des nouveaux députés) en juin et juillet 2024. Lors de ces périodes électorales, immanquablement, les homélies des chanoines appellent minutieusement les quelques fidèles présents (comme indiqués des personnes âgées, ou faisant partie plutôt de la classe moyenne) à faire leur devoir civique et à aller voter , ceci au nom du "bien public". Il serait sans doute préférable d'adopter une attitude plus réservée et plus neutre, car l'abstention active, faute de la présentation d'un choix considéré comme valable quant aux candidats, est aussi une option possible.
Une des particularités , en Alsace-Moselle, dans certaines églises, et c'est le cas à la cathédrale de Metz, est de chanter , en fin de messe, la prière pour la république :
«Domine, salvam fac rem publicam et exaudi nos in die qua invocaverimus te.(Seigneur, sauve la République, exauce-nous en ce jour où nous t’adressons nos invocations.» C’est oublier un peu vite que cette "république" est marquée politiquement, car il s'agit bien d'une république bourgeoise créée par un coup d’État en 1958. Politiquement, une neutralité scrupuleuse s'impose donc.
Si l'on veut faire revenir à la religion catholique , diverses catégories de population , il convient d'éviter à tout prix de faire passer des messages dits subliminaux, qui conviennent peut-être à divers dévots, mais qui sont loin d'épouser les opinions les plus courantes .
A noter qu'il semble que près de la moitié des fidèles catholiques actuels (notamment plus âgés que la population moyenne), voterait plutôt pour les extrêmes de la droite, plus précisément l'extrême droite ( Famille Le Pen, père, fille et nièce, Eric Zemmour, etc.).
Autre exemple: lorsqu'il s'agit de parler de la paix, et cela arrive au moins une fois dans chaque messe, après la prière du "Notre Père", les chanoines se lancent dans une pensée émue et solidaire pour "nos frères et sœurs juifs" , ce qui est plutôt bien, mais au passage, ils oublient que l’État d'Israël, actuellement plutôt avec un gouvernement d'extrême droite, quant à ses représentants politiques, et donc sioniste et d'apartheid, est va-t-en guerre et utilise des méthode qui contre les palestiniens, enfants et femmes inclus, qui s'identifient à des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité ; et donc il serait bienvenu que les chanoines aient également une pensée émue et solidaire pour nos "frères et sœurs palestiniens" , sinon cela heurte la sensibilité de certains membres de l'auditoire. Mais rien, le silence total, concernant nos frères et sœurs palestiniens, qui sont les victimes , en grand nombre, d'un gouvernement bien-pensant d'extrême droite, dirigé par monsieur Benjamin Netanyahou. Il paraît vraisemblable, selon les médias dominants, qu'une vie d'un enfant palestinien n'a pas la même valeur que la vie d'un enfant israélien, et cet enfant palestinien, n'hésitent pas à supposer certains, est sûrement un "terroriste" en devenir , donc étranger au genre humain.
Voilà au moins quatre raisons -- deux expositions, le public participant aux cérémonies, et les officiants de ces cérémonies -- qui expliquent bien la situation de l’Église, dans une paroisse de Metz: cela permet de comprendre , non seulement l'état critique actuel de l’Église, mais , plus dramatique aussi, pourquoi il n'y a aucun moyen de sortir cette Église de l'ornière où elle s'est engloutie, puisqu'elle ne fait que regarder, non vers l'avenir, mais vers un passé prestigieux, en regardant uniquement dans le rétroviseur. En conséquence, le peuple , dont la jeunesse, est bien absent et il n'est donné aucun moyen pour le faire revenir dans le giron de l’Église. L’Église de Pierre , avec un regard fixé dans le rétroviseur, présente tous les symptômes désespérants d'une agonie annoncée, agonie qui va durer aussi longtemps que les "vieux" fidèles demeurent en poste, y compris les prêtres, dont les chanoines, plutôt âgés, et rarement remplacés, lorsqu'ils prennent une retraite méritée.
La crise générale de l’Église catholique n'aide pas à réformer une situation mortifère. Je songe en particulier à tous les scandales relatifs aux diverses agressions sexuelles, dont le plus récent est celui de l'Abbé Pierre : jusqu'à ce que les bouches s'ouvrent et que la vérité s'impose, il apparaît que, si l'Abbé Pierre a fait de bonnes œuvres, il a été également un grand malade, du côté de la sexualité (viols multiples, dont des jeunes filles mineures au moment des faits) , ceci alors que de nombreux collaborateurs , notamment de l'association Emmaüs, et aussi la hiérarchie de l’Église, connaissaient la réalité des faits, mais ne sont pas intervenus pour protéger les victimes .
S'il convient de régler au plus vite un bilan très négatif quant aux mœurs de certains membres de l’Église, il est également plus que nécessaire que la doctrine de l’Église soit dépoussiérée et qu'elle ouvre les portes et les fenêtres pour enfin faire entrer la vie telle qu'elle est en son sein et dans ses préoccupations. Prenons, par exemple, la question de l'avortement et de la contraception.
Il est plus que temps que Jésus-Christ entame sa deuxième descente sur terre, à la fois pour le combat final du présent cycle, et aussi pour remettre d'équerre toute la doctrine , ainsi que les points de vue relatifs aux diverses religions.
Du jeudi 26 au dimanche 29 septembre 2024, le pape François s'est rendu en Belgique. En prenant position contre l'avortement, le pape François a fait une mauvaise action, qui a conduit plus de cinq cent catholiques de Belgique à démissionner de l’Église de pierre. L'Esprit, qui est aussi le Souffle de Dieu, est éternel, il n'appartient qu'à Dieu, et il est inatteignable à l'homme. c'est un don de Dieu, qui est, a été et sera éternellement.
Laissons la science décider de ce qu'est la vie au niveau biologique. Nous savons bien ce qu'est la Vie spirituelle, celle pour laquelle il faut naître de nouveau, naître du ciel. Comme l'a dit Jésus-Christ, il ne faut aucunement craindre ceux qui attentent à la vie du corps, mais ceux qui cherchent à toucher à la vie de l'Esprit.
Genèse, chapitre 1, verset 26, Dieu dit: "Faisons l'homme à notre image , comme notre ressemblance..." . Dieu est-il à l'image, à le ressemblance du fœtus, ou bien du corps physique ? Bien sûr que non ! L'homme (et la femme) ont la vie physique dès la conception, lorsque l'ovule rencontre le spermatozoïde. L'ovule et le spermatozoïde font partie de la vie physique.
Genèse , chapitre 2 verset 7 : "Alors Yahvé Dieu modela l'homme avec la glaise du sol, il insuffla dans ses narines une haleine de vie et l'homme devint un être vivant." Dieu est-il un "glaiseux"? L'homme en tant que glaise , est-il à l'image et à la ressemblance de Dieu ? Bien sûr que non ! Quelle est cette haleine de vie que Dieu souffle dans les narines de l'homme ? C'est l'esprit , qui est à l'image et à la ressemblance de Dieu. Ne peut-on concevoir qu'il s'agit là de la création de l'homme en tant qu'âme spirituelle et éternelle ? Le reste, le corps physique , dont le fœtus , viennent de la poussière et retournent à la poussières (atomes, molécules, cellules, etc.). Il y a bien un corps physique et un corps spirituel. Pour ma part, je m'identifie (et j'identifie les autres êtres vivants ) , avec le corps spirituel et non avec le corps physique, emprunté ,à la nature et qu'il faudra rendre à la nature. En conséquence, si l'homme (ou la femme) possède la vie physique, dès la conception, à savoir l'union des cellules masculine et féminine, il (ou elle) ne devient un être spirituel qu'au moment de la naissance, lors de la première inspiration d'air, au premier souffle. L'homme est un être spirituel terrestre du premier souffle au dernier souffle, de la naissance à la mort (du corps). L'esprit, à l'image et à la ressemblance de Dieu, est inatteignable par l'homme: ce Souffle (ou esprit) vient de Dieu et retourne à Dieu. Quant au corps physique, il vient de la poussière et retourne à la poussière. L'homme a le pouvoir de tuer un corps: il ne pourra jamais tuer une âme. En supprimant un fœtus non né est-on un "meurtrier" ? Le fœtus est un organe de la femme qui le porte, comme le cœur, les reins, etc. C'est un être vivant, certes, comme tous les organes, le cerveau, etc. L'homme naît lorsqu'il devient autonome et indépendant de la femme. Il naît et inspire le souffle, l'air , pour la première fois. Si le fœtus est géré par la science, la société, l'éthique, la morale, par contre l'esprit n'appartient qu'à Dieu. Ce sont deux réalités différentes, l'une qui est de Dieu, éternelle et immortelle, l'autre est du monde, temporaire et mortel.Tous les cas sont dans la nature et dans la société. La question est: quel sont les cas justifiés, et pourquoi ? Quelle est la limite à ne pas franchir , naturellement, socialement, théologiquement ? L'erreur à ne pas commettre est de choisir un cas (par exemple : "Non à l'avortement!" ) et à interdire tous les autres cas . Il s'agit donc de laisser une voie ouverte et de fermer toutes les autres voies. Est-ce bien raisonnable ? Est-ce juste et équitable ? Tuer un fœtus dans le ventre de la mère, c'est être un meurtrier ? Soyons logique. Dans cette perspective, ne pas utiliser tous les ovules de la femme, c'est criminel ? Et faire de l'onanisme, la masturbation, c'est condamner à mort les spermatozoïdes? Refuser d'avoir des enfants, c'est refuser la vie, et donc être criminellement mortifère ? En conséquence, il faut considérer tous les cas pour le bien de chaque personne et de la société. A quoi bon interdire les avortements, de façon brutale, comme l'a fait l’État du Texas, sur recommandation de la Cour suprême des États-Unis conservatrice, pour voir se développer les infanticides, qui , eux, sont des crimes réels ? En fin de compte, le criminel, c'est celui (ou l'organisme) , qui ne prône qu'un seul cas, et ferme toutes les autres hypothèses.
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