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Liberté, égalité, fraternité (Partie 30)

  • jeanbernardritt
  • 23 déc. 2024
  • 11 min de lecture

Liberté, égalité, fraternité (Partie 30)



CHAPITRE V




NATURE DE CLASSE DU POUVOIR POLITIQUE


« La question du pouvoir est certainement la question la plus importante de toute révolution. Quelle classe détient le pouvoir ? Tel est le fond du problème… la question du pouvoir ne saurait être ni éludée ni reléguée à l’arrière-plan… c’est la question fondamentale, celle qui détermine tout le développement de la révolution, sa politique extérieure et intérieure. » Lénine








« Le pouvoir politique à proprement parler, est le pouvoir organisé d’une classe pour l’oppression d’une autre. » (176)

Pour le marxisme-léninisme, la question du pouvoir se pose en termes de classe. Quelle est la classe qui détient le pouvoir ? C’est là la question essentielle pour déterminer la nature d’un régime. Dans une société de classes, il y a toujours une classe dominante. En régime capitaliste, c’est la bourgeoisie. En régime socialiste, c’est le prolétariat. En effet, les classes sociales ne disparaissent pas dans un régime socialiste. La bourgeoisie ne se volatilise pas et le prolétariat continue d’exister. Le socialisme est une société de classes où règne la lutte de classes sur tous les plans.

Dans une société de classes, de deux choses l’une : ou bien le pouvoir est entre les mains de la bourgeoisie, ou bien il est entre les mains du prolétariat et de ses alliés. Mais en tout cas, il ne saurait être entre les mains de l’ « ensemble des individus » ou être « également diffusé entre tous les êtres humains ». Cela ne peut que recouvrir le maintien au pouvoir de la classe bourgeoise que de soutenir de telles théories. Aussi convient-il, dans un premier paragraphe, de dénoncer cette conception idéaliste du pouvoir politique.


Dans la société socialiste, peut-il y avoir égalité entre exploités et exploiteurs ? A cette question Lénine répondait :

« L’exploiteur ne peut être l’égal de l’exploité. Cette vérité fait le fond même du socialisme. »

Il est illusoire de penser que les capitalistes laisseront les travailleurs prendre le pouvoir sans réagir. Ils chercheront à imposer leur maintien au besoin par la force. Prétendre assurer l’ « égalité » entre exploités et exploiteurs, c’est en fait assurer à la bourgeoisie toutes les possibilités lui permettant de maintenir sa domination ; c’est créer les conditions pour que se perpétue l’ « inégalité » au profit de la bourgeoisie :

« Il ne saurait y avoir d’égalité entre les exploiteurs qui, durant de longues générations, s’étaient distingués par leur instruction, par leur train de vie et par les habitudes acquises, et les exploités dont la masse, même dans les républiques bourgeoises les plus avancées et les plus démocratiques, reste accablée, inculte, ignorante, craintive, divisée. Longtemps après la révolution, les exploiteurs conservent nécessairement une série de réels et notables avantages… Jamais les exploiteurs ne se soumettront à la volonté de la majorité des exploités, sans avoir fait jouer – dans une bataille suprême, désespérée, dans une série de batailles -- leur avantage. » (177)

On ne peut donc amener le pouvoir du prolétariat et conserver l’Etat capitaliste : c’est-à-dire le pouvoir de la bourgeoisie. Car l’Etat capitaliste est la matérialisation du pouvoir politique de la bourgeoisie. Prendre le pouvoir signifie pour le prolétariat, briser cet Etat bourgeois et édifier un Etat prolétarien. La destruction de l’Etat bourgeois et l’édification d’un Etat prolétarien sont deux processus dialectiquement liés. Ils sont en pratique indissociés et indissociables : c’est pour la clarté de l’exposé que nous sommes amenés à distinguer les deux questions :

« Nous estimons que la social-démocratie est tenue d’appuyer tout mouvement révolutionnaire dirigé contre le régime politique existant, et nous considérons que son but est la conquête du pouvoir politique par la classe ouvrière, l’expropriation des expropriateurs et l’édification d’une société socialiste. »

« La véritable tâche d’un parti est (…) d’organiser la lutte de la classe du prolétariat et de diriger cette lutte dont le but final est la conquête du pouvoir politique et l’organisation de la société socialiste. » (178)

Aussi, dans un second paragraphe, sera soulevé le problème du pouvoir d’Etat et des appareils d’Etat, car :

« Le problème fondamental de toute révolution est celui du pouvoir. Tant que ce problème n’est pas élucidé, il ne saurait être question de jouer consciemment son rôle dans la révolution, et encore moins de la diriger. » (179)


Pour le marxisme-léninisme, l’Etat est avant tout la machine de domination d’une classe sur une autre. Dans une société de classe, l’Etat ne saurait être « au-dessus des classes ». Ce n’est pas un instrument « neutre », émanation de la société de classes, qui pourrait être utilisé par telle ou telle classe. Mais l’Etat est une émanation des classes dominantes : à telle classe dominante correspond tel Etat. A la classe bourgeoise correspond un Etat capitaliste ; à la classe ouvrière correspond un Etat socialiste. On ne peut prendre l’appareil d’Etat (comme s’il était neutre) et le faire fonctionner « différemment », selon que c’est la classe bourgeoise ou la classe ouvrière qui détient le pouvoir politique. Mais il faut le détruire pour en construire un nouveau. Le marxisme-léninisme ne saurait envisager la question de l’Etat en termes de « conquête » mais en termes de « destruction » (par la violence révolutionnaire). L’illusion réformiste consiste à croire qu’il est possible de « conquérir » le vieil appareil bourgeois pour le faire fonctionner conformément aux intérêts des travailleurs. C’est ce que démontre de façon évidente l’expérience de la Commune de Paris en 1871. Dans la Guerre civile en France, MARX, analysant la portée historique de la Commune, déclare :

« La classe ouvrière ne peut pas se contenter de prendre tel quel l’appareil d’Etat et de le faire fonctionner pour son propre compte. » (180)

La Commune (et historiquement il ne pouvait en aller autrement) croyait en effet pouvoir utiliser le vieil appareil d’Etat. Le Comité central déclarait le 18 mars 1871 :

« Le prolétariat a compris qu’il était de son devoir impérieux et de son droit absolu de prendre en main ses destinées, et d’en assurer le triomphe en s’emparant du pouvoir. »

La Commune ne fit qu’engager la destruction de l’Etat bourgeois et l’édification d’un nouvel Etat. Les illusions régnant sur la question de l’Etat furent une autre des causes de la défaite de la Commune, à côté de la division des partis au pouvoir face à l’ennemi commun. Il reviendra à Lénine de remettre à jour et de développer cette leçon essentielle de la Commune, qui fut passée sous silence, ou dénaturée par les opportunistes de la Deuxième Internationale. Dans l’Etat et la Révolution, Lénine résume ainsi le point de vue de Marx, fondé sur l’expérience de la Commune :

« L’idée de Marx est que la classe ouvrière doit briser, démolir la « machine d’Etat toute prête », et ne pas se contenter à en prendre possession… « Briser la machine bureaucratique et militaire », en ces quelques mots on trouve brièvement exprimée la principale leçon du marxisme sur les tâches du prolétariat à l’égard de l’Etat au cours de la révolution. » (181)

Dans le processus de la révolution prolétarienne, du passage au socialisme, la question de l’Etat est primordiale, essentielle. Conserver le vieil appareil d’Etat, c’est en fait maintenir la bourgeoisie au pouvoir, maintenir l’appareil de sa domination. On ne peut sérieusement prétendre vouloir le socialisme et se refuser à détruire l’Etat capitaliste. C’est là un fait vérifié par plus d’un siècle d’expérience révolutionnaire.

L’attitude vis-à-vis de l’Etat est une ligne de démarcation. D’un côté, ceux qui prônent le « socialisme » tout en se refusant à détruire l’Etat capitaliste : c’est là le propre du réformisme et du révisionnisme. De l’autre coté, ceux qui déclarent qu’il ne peut y avoir de socialisme sans destruction préalable de l’appareil d’Etat bourgeois : c’est là ce qui caractérise le marxisme-léninisme. Et dans ce second cas, il est logique de se demander quel est le rôle de la violence pendant la période révolutionnaire (briser l’Etat bourgeois et édifier l’Etat socialiste) et à l’époque de la dictature du prolétariat. Nous répondrons à cette question dans le Chapitre VI, à la suite de Lénine :

« L’Etat est le domaine de la contrainte. Ce serait folie de renoncer à la contrainte, surtout à l’époque de la dictature du prolétariat. » (182)


Le problème du pouvoir politique se présente dans des circonstances concrètes : l’analyse objective de celles-ci a pour but d’indiquer quel moment est le plus favorable à une prise de pouvoir. En tout cas, que ce moment soit très proche ou lointain, il s’agit de se préparer en vue de cet objectif. Ainsi, soumettant la société à une analyse approfondie, à la lumière marxiste et du point de vue de la conception marxiste du monde, Lénine a, en 1916, caractérisé son époque comme celle de « l’impérialisme et de la révolution prolétarienne ». Il a montré comment aux alentours de 1880 le capitalisme est entré dans une phase nouvelle de développement, son stade ultime, le capitalisme monopoliste, qui est l’essence économique de l’impérialisme :

« Monopoles, oligarchies, tendances à la domination au lieu des tendances à la liberté, exploitation d’un nombre croissant de nations petites ou faibles par une poignée de nations extrêmement riches ou puissantes ; tout cela a donné naissance aux traits distinctifs de l’impérialisme qui le font caractériser comme un capitalisme pourrissant. » (183)

La question se pose de savoir quels sont les rapports entre l’ « internationalisation du capital », les « firmes multinationales » et les Etats nationaux, ou encore quels sont les rapports entre l’impérialisme d’Etat et la nation. Ce point sera traité dans le Chapitre VII.


La classe ouvrière a pour tâche de réaliser la dictature du prolétariat et le contrôle ouvrier, c’est-à-dire un pouvoir qui soit réellement un POUVOIR DU PEUPLE. Il s’agit de savoir comment ces aspirations seront réalisées, ou plus généralement, qu’est-ce que la dictature du prolétariat. Ce point sera traité dans le Chapitre VIII.


Liberté, égalité, fraternité (Partie 31)


  1. CONCEPTION IDEALISTE DU POUVOIR


Cette façon de concevoir le pouvoir est une mystification qui vise à conserver ce pouvoir en fait à la classe bourgeoise. C’est une façon de traiter le problème du pouvoir politique, qui repose en dernière analyse, sur la négation des classes, des contradictions de classes et des luttes de classes. En général, pour cette conception du pouvoir, le moteur de l’histoire, ce sont les idées, ou bien les grands hommes (théorie du génie), ou encore les forces productives, et non la lutte de classes.

Les révisionnistes appartiennent à cette école, car, s’ils « reconnaissent » l’existence des clases, des contradictions de classes et des luttes de classes en paroles, ils refusent d’en tirer les conséquences pratiques, c’est-à-dire la reconnaissance de fait de la dictature du prolétariat.

Un exemple de la conception idéaliste du pouvoir est l’ouvrage de Bertrand de Jouvenel, Du Pouvoir.

Une des choses les plus étonnantes est la distinction entre « pouvoir politique » et pouvoir d’Etat. Ainsi, par exemple, on aurait d’un côté, « le pouvoir des travailleurs » exercé dans l’entreprise, et à différents niveaux de la société, un pouvoir morcelé en différents « centres », et de l’autre côté, l’Etat. D’une part, les organes du « pouvoir des travailleurs », de l’autre l’appareil d’Etat. Nous rejoignons ici un vieux débat que Lénine expose dans La révolution prolétarienne et le renégat Kautsky, au chapitre « Défense aux soviets de se transformer en organisation d’Etat » ; c’est là un cheval de bataille de Kautsky, représentant le plus éminent du révisionnisme ancien. A ce sujet, Lénine déclare :

« …il s’agit de savoir si les soviets doivent s’efforcer de devenir des organisations d’Etat…OU BIEN les soviets ne doivent pas s’y efforcer, ne doivent pas prendre le pouvoir, ne doivent pas devenir des organisations d’Etat. (…) C’est en fait passer du côté de la bourgeoisie disposée à admettre tout ce que l’on veut, sauf la transformation des classes qu’elle opprime en organisations d’Etat…Dire aux soviets : luttez mais ne prenez pas en main tout le pouvoir d’Etat, ne devenez pas des organisations d’Etat, c’est prêcher la collaboration des classes et la « paix sociale » entre le prolétariat et la bourgeoisie. » (184)

Les soviets, organisation d’Etat, reprenaient et enrichissaient l’expérience de la Commune. Dans sa tentative d’édification d’un nouvel Etat, la Commune fit des assemblés des organes d’Etat. En refusant la destruction de l’Etat capitaliste, le révisionnisme ancien et moderne se trouve devant la situation suivante : il proclame en paroles le « socialisme » pouvoir des travailleurs, mais maintien un Etat étranger et antagonique à ce « pouvoir », l’Etat bourgeois. Dans de telles conditions, il est clair que les révisionnistes ne sont pas, ne veulent pas, et ne peuvent pas être des représentants du pouvoir des travailleurs, du socialisme. La supercherie consiste à hypostasier la notion de pouvoir politique de façon métaphysique, et à élaborer sur elle des spéculations abstraites. Or, on ne saurait séparer la question du pouvoir des conditions concrètes de sa manifestation : l’Etat. Agir ainsi vise en fait à maintenir le pouvoir au profit de la classe dominante, et à obscurcir le problème. En réalité, on ne peut diviser, séparer le pouvoir politique ainsi. Le « pouvoir du peuple en général », le « pouvoir en soi » n’ont en réalité aucune existence, sinon celle d’être des « êtres de pensée », des notions idéologiques. Seules existent les classes, les contradictions de classes et les luttes de classes : donc on ne saurait penser un pouvoir au-dessus de ces existences. Dans une société de classes, il ne saurait exister un « pouvoir » qui ne soit un pouvoir de classe.

Une des conséquences, est que le pouvoir est un tout et ne se divise pas. Aussi, la théorie du « grignotage » est-elle complètement fausse. Voici comment elle présente la prise du pouvoir par les travailleurs : de grignotage en grignotage, le pouvoir des patrons et de l’Etat se rétréciraient …Cette théorie est une forme de réformisme qui se présente sous couleur « subversive » : elle prétend que l’on peut gagner le pouvoir morceau par morceau, le rogner.

« Le peuple constate par l’expérience que la représentation populaire n’est rien si elle n’est pas investie de pleins pouvoirs, si elle a été convoquée par le pouvoir en place, si celui-ci est toujours là intact, à ses côtés. (185)


  1. POUVOIR D’ETAT ET APPAREILS D’ETAT


Qu’est-ce que les appareils, notamment les appareils et branches d’Etat ? Quel est leur rapport aux classes sociales ?

On peut énumérer ces appareils. Ils comprennent :

  1. D’une part l’appareil répressif au sens strict et ses branches (armée, police, magistrature, administration) ;

  2. D’autre part les appareils idéologiques d’Etat (l’appareil scolaire, l’appareil religieux – les Eglises --, l’appareil d’information – radio, télévision, presse --, l’appareil culturel – cinéma, théâtre, édition --, l’appareil syndical de collaboration de classe, les partis politiques bourgeois et petits bourgeois, etc.) – sous un certain aspect, dans le mode de production capitaliste, la famille.


Outre les appareils d’Etat, on trouve également l’appareil économique au sens strict, l’ « entreprise » ou l’ « usine ». Comme centre d’appropriation de la nature, l’appareil d’Etat matérialise et incarne les rapports économiques dans leur articulation aux rapports politico-idéologiques.

Les appareils ont pour rôle principal de maintenir l’unité et la cohésion d’une formation sociale en concentrant et en consacrant la domination de classe. Ils reproduisent ainsi les rapports sociaux c’est-à-dire les rapports de classe. Dans les appareils d’Etat, les rapports politiques et idéologiques se matérialisent et s’incarnent comme pratiques matérielles.

Dans la mesure où la détermination des classes fait appel aux rapports politiques, et où ceux-ci n’existent que matérialisés dans des appareils, une analyse des clases sociales (des luttes de classes) ne peut être entreprise que dans leurs relations aux appareils et notamment aux appareils d’Etat. Les classes sociales et leur reproduction n’existent que par la relation entre d’une part les classes sociales et d’autre part les appareils d’Etat et appareils économiques. Ces appareils ne se « surajoutent » pas simplement, comme des appendices, à la lutte des classes, mais y détiennent un rôle constitutif.

Quel est le rapport et la distinction entre pouvoir d’Etat et appareils d’Etat ?

Les appareils d’Etat ne possèdent pas de « pouvoir » propre, mais matérialisent et concentrent les rapports de classes, rapports que recouvre précisément le concept de « pouvoir ».

L’Etat est lui-même un rapport, la condensation d’un rapport de classe. Cela signifie que les diverses fonctions économiques, politiques et idéologiques, remplies par les appareils d’Etat dans la reproduction des rapports sociaux ne sont pas des fonctions « neutres » et en soi, existant d’abord comme telles pour être simplement détournées par la suite par les classes dominantes ; ces fonctions dépendent du pouvoir d’Etat inscrit dans la structure même de ces appareils d’Etat, à savoir des classes et fractions de classes qui occupent le terrain de la domination politique. Cette domination politique elle-même est solidaire de l’existence et du fonctionnement des appareils d’Etat.

Il s’ensuit qu’une transformation radicale des rapports sociaux ne peut se limiter à un changement de pouvoir d’Etat, mais doit aussi « révolutionnariser » les appareils d’Etat eux-mêmes. La classe ouvrière ne peut se contenter, dans le procès de la révolution socialiste, de prendre la place de la bourgeoisie au niveau du pouvoir d’Etat, mais doit également transformer radicalement (« briser ») les appareils d’Etat bourgeois et les remplacer par des appareils d’Etat prolétariens. Mais c’est le pouvoir d’Etat, directement articulé à la lutte des classes, qui détermine le rôle et le fonctionnement des appareils d’Etat. Cela s’exprime, du point de vue de la révolutionnarisation des appareils d’Etat, par le fait que la classe ouvrière et les masses populaires ne peuvent « briser » les appareils d’Etat qu’en s’emparant du pouvoir d’Etat. Cela signifie que le rôle de tel ou tel appareil ou branche d’Etat (école, armée, partis, etc.) dans la cohésion de la formation sociale, la représentation des intérêts de classe et la reproduction des rapports sociaux, ne tient pas à leur nature intrinsèque, mais dépend du pouvoir d’Etat. Plus généralement, toute analyse d’une formation sociale doit prendre en considération à la fois directement les rapports de lutte de classe, les rapports de pouvoir, et les appareils d’Etat, qui matérialisent, concentrent et réfléchissent ces rapports. Mais dans la relation entre lutte des classes et appareils, c’est la lutte des classes qui a le rôle fondamental.


 
 
 

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